Lorsque Je rencontre des femmes en désir d’enfant, il est clair que les mots « essayer de se détendre » sont les derniers mots qu’elles veulent entendre. Typiquement, la raison est fondamentalement liée à l’idée que leurs problèmes de fertilité seraient dans leur tête, leur infligeant une culpabilité affligeante.
J’en ai d’ailleurs moi-même fait les frais
Cependant (et bien sûr, les prémisses de mon futur programme de fertilité sereine en témoigneront) – est qu’il y a beaucoup de vérité dans ces mots.
Autrement dit, notre corps n’est pas un vaisseau déconnecté du monde extérieur. Notre esprit réagit constamment à l’environnement dans lequel nous nous engageons, et notre corps réagit en conséquence. Notre corps écoute constamment nos pensées et les modifient – pour le meilleur et pour le pire. Qui plus est, on sait que le taux de dépression et de stress chez les femmes qui essaient de concevoir est aussi élevé que celles qui souffrent de maladies mortelles comme les maladies cardiaques ou le cancer.
Pourquoi le fait d’essayer cause‑t‑il autant d’anxiété? Que pouvons‑nous alors faire à ce sujet? Que pouvons‑nous faire pour renverser ces effets négatifs ?
ET SI ….. ON ESSAYAIT DE NE PAS ESSAYER ?
Alors, comment nos pensées se traduisent-elles physiquement? Comment ces bribes éphémères de non-matière affectent-elles notre corps ? Nous savons ce qui suit: • Le stress a un impact réel et mesurable sur le corps • L’infertilité, ou essayer de tomber enceinte, crée beaucoup de stress • La fertilité est réduite par le stress • L’inquiétude constante, la dépression ou l’anxiété créent un stress chronique • Le stress cause de nombreux autres problèmes de santé Dans mon programme j’aborderai cela plus en détail pour y trouver des solutions accessibles
• Les effets négatifs de « l’essai » sur notre corps • La connexion corps/esprit et son lien avec la fertilité • Loi de l’effort inversé • Techniques de réduction du stress (visualisation, respiration, libération émotionnelle, etc.) • La connexion hypothalamus-hypophyse-ovaire • Le stress chronique et l’effet sur notre circulation hormonale